Ce numéro inaugure la période de transhumance vers plus de lumière et de soleil. Il accorde d’une part une large place aux voyages comme cheminements intérieurs avec notamment les chansons de Françoise Hardy, la poésie de Jean d’Ormesson, les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, un focus sur les gens du voyage et les artefacts qui y sont liés, une incursion dans le monde sous-marin avec les récifs coralliens pour dernière demeure et une invitation à l’émerveillement avec la visite de la station Toledo du métro d’art à Naples, ..
La couverture solaire de ce numéro, réalisée par le jeune Quinten, âgé de 17 ans, symbolise l’agapé, cet amour platonique inconditionnel, précieux remède universel au voile d’ombre qui mine le monde.
Ce numéro inaugure la période de transhumance vers plus de lumière et de soleil. Il accorde d’une part une large place aux voyages comme cheminements intérieurs avec notamment les chansons de Françoise Hardy, la poésie de Jean d’Ormesson, les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, un focus sur les gens du voyage et les artefacts qui y sont liés, une incursion dans le monde sous-marin avec les récifs coralliens pour dernière demeure et une invitation à l’émerveillement avec la visite de la station Toledo du métro d’art à Naples, ..
Luc Petit, notre faiseur de rêves international nous adresse un clin d’oeil en nous confiant ses motivations à créer son nouveau spectacle « Le Tour du Monde en 80 jours. »
D’autre part, ce numéro nous parle de l’asbl Pass-âge, du mal-être de la génération Z, du deuil blanc et de l’attitude à avoir avec les enfants face à la mort, des prescriptions nature et du lâcher-prise. Dans un tout autre registre, on vous informe sur l’héritage numérique.
Enfin, nous vous proposons quelques livres. Comme le disait la fille du regretté Bernard Pivot : « Il est un passeport que chaque être humain se doit de posséder : le passeport littéraire. Il abolit les frontières, permet de voyager à travers le monde, de traverser les siècles et d’aller à la rencontre des hommes. Avec lui, nous sommes libres, nous sommes livres. Avec lui, nous faisons tout au long de notre existence, connaissance avec nous-même. Lire, c’est avant tout un dialogue avec soi. »
Pascale Jourdan